Collection Libertinages. J’Offre Ma Femme À Un Couple Texan (2/2)

J’adore le français parler dans la bouche de ces Texans.
C’est ce qu’il me vient comme réflexion lorsque j’écoute nos amis nous inviter à les suivre.
C’est à pied que nous rejoignons une boîte de nuit non loin de la place Pigalle et du Moulin rouge où nous avons dîner avant que les filles à moitié à poil défilent au-dessus de nous.
Avec Tex et Monica, pas celle qui suçait Bill, nous étions placés au plus près de la scène et les artistes nous surplombaient.
Quand certaines d’entre elles levaient la jambe, nous étions aux premières loges pour qu’elle me fasse bander.
Leurs seins nus me donnaient l’envie de tendre la main pour les saisir.
Pensant que je ne la voie pas, où est partie la main de notre jolie Texane sous la table.
Il est improbable que Jennifer ma femme se laisse caresser par une autre femme.
Depuis que nous sommes mariés, si elle avait eu des tendances lesbiennes, je l’aurais su.
Comment cacher à l’homme que l’on aime que les chattes des filles soient plus importantes que les queues des hommes ?
À moi d’être bisexuelle mais là encore je l’aurais vu.
Certes, elle passe énormément de temps avec Jade son amie d’enfance et très souvent pris par mon travail je rentre très tard, mais delà à ce qu’elle se gouine il y a un fossé que je veux éviter de franchir.

- Chris regarde comme nos femmes sont belles.
- Tex, tu as trop bu, ce n’est pas ma femme, mais ma secrétaire.
- J’oubliais excuse, tu devrais la baiser, elle a une tête à aimer le sexe.
- Tu as des vues dessus Tex !
- Pas du tout, Monica oui, quand elle est en chasse comme ce soir, je dois simplement la regarder.
As-tu déjà vu deux femmes se brouter le minou comme vous dites en France !
Dans notre ranch à Austin, souvent elle organise des soirées avec une ou plusieurs femmes, si j’avais le malheur d’en toucher une, je crois qu’elle m’arracherait les yeux.


- Tu es candauliste, c’est bizarre, j’avais toujours pensé que ce terme était employé pour les hommes regardant leurs femmes se faire baiser par un ou plusieurs hommes.
- Candauliste, je retiendrais ce terme, je le rapporterais au mari de celle qui baise avec Monica et qui regarde.
Nous voilà arrivé.
- Monsieur Tex, vous êtes à Paris avec votre femme, attendez deux minutes, nous allons faire le nécessaire pour que votre table soit libérée.

Je suis sur le cul, j’ai passé de longs moments à mettre au point cette soirée pour réussir à lui faire signer un gros contrat, non seulement sa femme drague ma femme, mais il semble mieux connaître Paris bye night que moi.

- Suivez-moi, vous voulez votre whisky ?

Et il semble avoir une bouteille de whisky à sa disposition.

- Mesdames champagne.
- Oui, Tex, ce soir c’est la fête, j’adore Jennifer, m’aimes-tu chérie !
- Oui Monica, tu es une femme formidable.

Nous venons de nous asseoir quand elle prononce cette phrase et sans le moindre gène, ma femme embrasse notre cliente sur la bouche.
Certes juste ses lèvres sur les siennes, mais ses lèvres tout de même.

- On danse.
- On danse.

Toutes deux se lèvent, s’enlacent et commencent à danser langoureusement sur un slow.

- Regarde comme c’est beau deux femmes ensemble !
Connaissant ma femme, si je ne les arrête pas, elle est capable de lui bouffer le clito sur ce canapé.
Chris, je suis en joie, venez à notre hôtel, je vous signerais votre contrat avec 1/3 de pièce en plus.

J’étais à deux doigts de faire un scandale leur dévoilant que celle qui se conduit comme une pute, c’est ma femme.
Contrat, signature, ça vaut bien que j’offre ma femme à cette Texane.
La limousine nous attend lorsque nous sortons prenant le chemin de l’hôtel.
Cinq étoiles dans l’un des plus beaux quartiers de Paris.

Tout au long de la route, les deux femmes s’échauffent.
Le chauffeur comme au départ sa casquette en main vient nous ouvrir la portière.
Ascenseur pris Tex présente la carte magnétique nous permettant d’entrer.
Il faut deux minutes pour que Monica commence à dénuder Jennifer qui défait elle aussi la broche qui tient la robe en place.
Leurs bouches se retrouvent leurs mains dans la chatte pour ma femme, sa copine se faisant caresser les seins.
Il faut reconnaître que ce couple est bandant, elles ont des seins comme des obus.
Je connais bien ceux de ma femme depuis notre mariage, ils se sont alourdis mais restent toujours bien hauts.
Si nous avions été au Lido au lieu du Moulin Rouge, elles auraient pu faire partie des Blue belles Girls.

- Stop, stop, stop.

C’est le cri du cœur que je pousse de celui qui a l’impression de tout perdre si les choses persistent à cette vitesse.

- Jennifer, tu en as assez fait pour que nos ôtes nous signe le contrat et que Pierre notre patron soit satisfait de nous.
- Chris, pourquoi les empêches-tu de continuer, vient boire un whisky, mesdames nous apprécions de vous voir vous aimer.
- Chérie, Tex à raison laisse-moi avec Monica, j’ai autant envie d’elle qu’elle de moi, je ne joue plus le rôle de ta secrétaire.
Sinon je serais frustrée.

Elles vont sur le lit, 69, frottage de clitos l’une croisant les jambes avec l’autre afin de les faire entrer en contact l’un l’autre.
Toute la gamme des jeux lesbiens y passe.
Je suis anéanti, mais je vois Tex prendre un classeur et sort des feuillets.
Il sort son stylo à plume de sa poche et me signe le contrat.
Sur le lit, les choses se précipitent, les deux femmes partent dans un magnifique orgasme simultané pour finir comme anéanti par le plaisir ayant déferlé en elle.
C’est Jennifer qui émerge la première.

- Dites-moi mes amis, Pierre le patron de Christian savait-il que tu aimais les femmes Monica.

- Bien sûr, la dernière fois que j’ai accompagné Tex, il nous a amenés au Crazy Horse.
Il était seul, mais par chance à la table voisine il y avait un jeune couple.
J’ai rapidement vu que la jeune femme aimait les femmes.
Il m’a vu avec elle dans la boîte de nuit où nous étions tout à l’heure et comment je l’ai emmené comme toi darling.
- Chris, je sais ce que ton patron a fait, il s’est vengé de la soirée du nouvel An à ta boîte.
Tu te souviens, il a prétexté que malgré la fête tu ailles chercher un dossier.
Dès que tu es parti, il s’est approché et m’a proposé du fric pour coucher avec lui.
C’est pour ça que tu faisais la gueule quand je suis revenu.
- Oui, je venais de le rembarrer lui disant que je n’étais pas une pute, il m’a juste glissé qu’il te virerait si je te le disais.
Je t’aime et je sais que tu aimes ton travail que tu trouves passionnant.
- Mais tu semblais bien à l’aise avec Monica, détrompe-moi, tu as déjà connu des femmes dans ton existence.
- Quand je t’ai connu, je t’ai dit que j’avais eu des aventures, tu n'as pas voulu d'explication, tu venais de constater que je n’étais pas vierge.
Tu m’as dit que toi aussi tu avais eu de nombreuses maîtresses, d’un commun accord nous avions décidé d’éviter d’en parler.
Parmi ses aventures et même la première, il y avait Véronique ma copine qui est partie vivre avec une Américaine et qui est à Houston.
- Eh ! Houston c’est près de chez nous au Texas.
- Tex, donne-moi ce contrat que je le déchire avant d’aller casser la gueule à mon patron.

Tex allume un gros cigare en s’approchant de la fenêtre qu’il a entrouverte.
Avec son chapeau de cow-boy qu’il garde sur sa tête, il représente le bon cliché du vacher américain ayant fait fortune.

- Tu n’en feras rien Chris.
J’aime m’amuser surtout lorsque je suis en France, tu l’as remarqué.

J’aime savoir à qui j’ai affaire quand je traite un bisness.
Quand Pierre m’a téléphoné, il m’a dit que ce serait toi qui t’occuperais de nous et que tu serais avec ta secrétaire.
- Tex n’oublie pas de dire qu’il a ajouté qu’il n’avait vu Jennifer qu’en compagnie de femmes et qu’il pensait qu’elle me plairait.
Vous comprenez pourquoi j’ai été assez directe avec toi darling.
- Monica a raison, mais Chris, il a joué avec vous comme avec moi et mon épouse.
J’ai une meilleure solution pour lui retourner la monnaie de sa pièce comme vous dite en France.
Si je suis venu c’est que j’ai besoin de cette commande pour faire tourner l’une de mes usines près de chez moi à Austin.
Chris combien gagnes-tu chez ton patron !
- 5 000 € environ avant impôts.
- C’est bien, je savais que tu étais marié sans savoir que ta femme serait de la partie ce soir.
Vous n’avez pas encore d’ et peu d’attache dans ce pays.
Je t’offre le poste de directeur de cette usine avec une paye de 15 000 $ plus le petit ranch près de chez nous.
C’est à la suite d’une erreur de prévision, ce qui n’était pas la première, que je l’ai viré, Bob n’étais pas à sa première bourde.
Je prends à ma charge votre déménagement mes amis.
- Jennifer, dite oui, je veux que nous soyons des amies, nous irons voir Véronique et sa copine à Houston où elles viendront chez nous.

Voilà, Pierre a été surpris que j’aie réussi à faire signer Tex avec une rallonge au contrat.
Quand je lui ai balancé ma démission, je me suis fait un malin plaisir de lui dire que le nouveau directeur de la boîte américaine que je suis devenue lui passera des commandes moyennant un gros rabais vu la marge qu’il faisait avant que je sois PDG.

Il y a trois semaines que nous sommes arrivés à Austin, nous attendons le conteneur de nos affaires qui vient par la mer.
Nous montons régulièrement à cheval avec mon aimé et son aimée.
Ce week-end, Véronique et Jade vont venir passer le week-end.
C’est dans mon fauteuil un cigare à la main que je les regarderais s’amuser.
Aucune méprise, je fais l’amour régulièrement à Jennifer, sa chatte m’est toujours ouverte.
Surtout que nous voulons un fils américain le plus rapidement possible.
Tex aussi, en plaisantant avec son accent et son humour, ils veulent mettre un dans le bénitier de son épouse.
Pour cela elle arrêtera de lui faire des pipes.
Non, si je la regarde se brouter avec sa maîtresse c’est que les vachers de Tex m’ont fait subir mon baptême de bien venue dans le pays des vaches que mon nouveau patron possède par centaines.
Ils m’ont fait monter sur une jeune vachette auquel il avait attaché une bride comme pour les rodéos.
Quand j’ai été installé bloquant ma main dans la bride, ils ont tourné la queue de la vachette.
Je suis fière, j’ai tenu sept secondes ma main étant bloqué m’empêchant de tomber.
Hélas, j’ai fait un soleil filmé par nos salopes et j’ai atterri sur mon cul.
Si j’étais homo, il me serait impossible de me faire mettre.
Bref, avant mon mal de cul lorsque je faisais une bonne levrette à Jennifer, nous nous disions que nous avions fait le bon choix en acceptant le contrat de notre mentor.

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